Officiel des Jardins, édition 12

Hommage à l'odieux Professeur Jean-Clambert assassiné par l'odieuse République

Par une ancienne étudiante traumatisée

Professeur Jean-Clambert,

Toi, le phare de la recherche paradigmienne, toujours prêt à éclairer nos ténèbres avec une lampe torche dont les piles étaient clairement usées.

Toi, l’homme qui prétendait pouvoir sauver la planète avec une cuillère en bois, trois escargots, et une recette qui ressemblait davantage à un cocktail qu’à une formule scientifique.

Toi, cet inoubliable professeur qui avait la capacité unique d’expliquer une équation complexe tout en "ajustant" la blouse de la stagiaire la plus proche. Ton multitâche était impressionnant, même si tes priorités laissaient parfois... à désirer.

Toi, mon ancien professeur, tu m’as appris tant de choses :

-La chimie avancée.

-La biologie appliquée.

-Et surtout, l’art de toujours verrouiller la porte d’un labo derrière moi, juste au cas où.

Tu étais ce savant un peu fou – mais surtout un peu trop fou – qui jonglait entre des idées de génie et des comportements dignes d’une comédie dramatique.

On se souvient tous de tes phrases emblématiques :

"Ah, mais ce n’est pas du sexisme, c’est de la science sociale expérimentale !"

"Regardez ce que je peux faire avec du chlore et un peu d’imagination !"

"Je ne suis pas un prédateur, je suis un mentor passionné."

Et, bien sûr, ton légendaire : "Si j’ai mal agi, c’est uniquement parce que mon QI est trop élevé pour être compris."

Professeur Jean-Clambert,

Aujourd’hui, nous célébrons ta mémoire – une mémoire riche en anecdotes, en moments de gêne collectifs, et en rappels fréquents de pourquoi les chartes éthiques existent.

Le Paradigme serait prêt à soutenir la Palladium !

Par un journaliste politique

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D’après une source bien informée, le Paradigme Vert suivrait de près la politique de réduction des dépenses engagée par la Palladium et envisagerait de s’y associer de manière stratégique. Avec l’initiative A.C.A.B. (« Plus de sécurité, moins de policiers, par ici la monnaie ! »), l'état amorcerait une transformation profonde visant à minimiser les coûts des services publics tout en maximisant les profits.

1. Une politique suivie de près

Le Paradigme aurait pris acte des récentes décisions de la Palladium en matière de gestion budgétaire et de sécurité. L’initiative A.C.A.B. marquerait une volonté de rendre les services de la ville plus rentables en réduisant les effectifs policiers, en facturant les interventions et en limitant les actions considérées comme inutiles.

Dans cette continuité, la réduction du nombre d’infrastructures semblerait être une étape logique. Moins de bâtiments signifie moins d’entretien, moins de dépenses publiques et plus de fonds redistribués vers des secteurs prioritaires – ou directement vers la Corporation qui chapeaute l’initiative.

Pour le Paradigme, qui milite pour une optimisation des ressources et une réduction des infrastructures polluantes, cet effort budgétaire irait dans le bon sens. Il serait donc naturel d’imaginer un partenariat stratégique pour accompagner cette mutation urbaine et économique.

2. Des idées de coupes extrêmes ?

En anticipant la suite du projet A.C.A.B., le Paradigme spéculerait sur la possibilité que la Palladium pousse encore plus loin ses efforts de réduction budgétaire, quitte à envisager des coupes drastiques dans des secteurs inattendus.

Parmi les scénarios envisagés, plusieurs hypothèses émergeraient :

  • Une privatisation accrue des services urbains, rendant chaque intervention payante et ajustant les coûts en fonction des revenus des habitants.
  • La suppression de certaines infrastructures publiques, comme les bibliothèques, parcs ou espaces verts, qui ne génèrent pas de profits et dont l’entretien représente un coût important.
  • Une automatisation extrême de la gestion municipale, visant à réduire encore le nombre de fonctionnaires et d’agents sur le terrain.

Ces projections, bien que spéculatives, illustreraient une tendance de fond : une ville toujours plus optimisée, rentable et soumise aux lois du marché, au détriment d’une gouvernance traditionnelle et de certains services publics jugés non essentiels.

3. Destruction des infrastructures ?

Dans cette optique, le Paradigme envisagerait de proposer son expertise pour accompagner la destruction d’infrastructures jugées trop coûteuses. Cette approche permettrait à la fois de réduire les dépenses municipales et de limiter la pollution générée par des bâtiments obsolètes.

Les arguments avancés seraient doubles :

  • Un gain budgétaire immédiat : en éliminant des infrastructures vieillissantes ou sous-exploitées, la ville économiserait sur les coûts d’entretien, d’énergie et de personnel.
  • Un impact écologique positif : les bâtiments énergivores ou polluants pourraient être démantelés ou remplacés par des structures plus durables, réduisant ainsi les émissions de CO₂ et la consommation de ressources.

Les infrastructures ciblées pourraient inclure :

  • D’anciennes usines à l’abandon, qui nécessitent des efforts de maintenance trop coûteux.
  • Des bâtiments administratifs sous-utilisés, dont la gestion représente une charge financière superflue.
  • Des quartiers en déclin, pouvant être rasés pour laisser place à des projets plus rentables ou écologiques.

Ce projet représenterait ainsi un double avantage pour la Palladium et le Paradigme : moins de dépenses et un gain d’image environnementale.

Conclusion : un projet gagnant-gagnant

Si cette collaboration venait à se concrétiser, les bénéfices seraient nombreux :

  • Moins d’infrastructures = Moins de dépenses publiques
  • Moins d’entretien et de consommation énergétique = Moins de pollution
  • Une ville plus rentable et plus écologique = Une meilleure image et plus d’investissements

Si ces mesures étaient validées, les finances seraient assainies, l’empreinte carbone réduite et chacun tirerait profit de cette nouvelle approche économique et environnementale.

En Irendol, quelqu’un n’apprécie pas se faire pigeonner… mais qui ?

Par Léon Caméo

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Un agitateur anonyme fait trembler le Jardin des Roses. Son influence se fait sentir dans les récents bouleversements sociaux, mais personne ne sait réellement qui il est. Seule certitude : il ne supporte pas l’exploitation et semble prêt à tout pour la dénoncer. Pourtant, malgré ses actions marquantes, son identité reste un mystère. Qui se cache derrière ces revendications fracassantes ?

Un profil insaisissable

L’analyse des faits ne permet pas d’identifier clairement cet individu. Cependant, quelques éléments troublants émergent. Plusieurs témoins affirment avoir entendu des roucoulements lors des événements récents. S’agit-il d’un simple hasard, d’un effet d’acoustique, ou d’un indice clé ? Si ces témoignages sont exacts, notre inconnu pourrait être un animal, et plus précisément un oiseau.

En l’absence de preuves tangibles, les hypothèses s’accumulent :

  • Un pigeon ? L’idée amuse, mais elle pourrait être pertinente. Ce volatile est souvent associé à la naïveté et à la duperie. Un pigeon rebelle voudrait-il retourner le stigmate en son avantage ?
  • Un autre oiseau ? Un ramier, une tourterelle ? Impossible à dire. Mais si cette piste est la bonne, on aurait affaire à un individu capable d’observer sans être vu, de se déplacer rapidement, et surtout de transmettre des messages sans éveiller les soupçons.
  • Un simple humain imitant un roucoulement ? Un détail à ne pas écarter. La mise en scène pourrait être volontaire, un moyen d’embrouiller les recherches. A moins que ce ne soit l'oeuvre d'une personne hispanique maîtrisant parfaitement le roulement de r.

Un esprit calculateur ?

Ce qui est certain, c’est que cette personne (ou cet animal) sait ce qu’elle fait. Elle cible des lieux stratégiques, frappe là où ça fait mal, et disparaît avant qu’on ne puisse remonter jusqu’à elle. Son mode opératoire laisse penser à une organisation méthodique, voire une intelligence collective. Est-elle seule ? A-t-elle des complices ? Rien ne permet de l’affirmer.

Un agitateur improvisé ou un vétéran de la lutte ? Là encore, les avis divergent. S’il s’agit d’un animal, comment a-t-il acquis une telle compréhension des rouages économiques ? Et s’il s’agit d’un humain, pourquoi utiliser des codes animaliers ?

Une seule chose est sûre : quelqu’un ne veut plus se faire pigeonner. Mais qui ? Le mystère reste entier.